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Conseils de rédaction et de présentation du mémoire de Master ou de Diplôme

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Sur cette page vous trouverez : Les conseils pour utiliser la Feuille de style - Mode d’emploi du modèle de mémoire - Les conseils de rédaction et de présentation - Modèle de présentation de la bibliographie
  1. Feuille de style - Mode d’emploi du modèle de mémoire

Une feuille de style garantit l’homogénéité de la forme du document, elle offre à l’auteur un gain de temps appréciable et permet la génération automatique de la table des matières.

 
   Vous devez impérativement travailler dès le début de la rédaction dans le modèle choisi.
 

 

 

Vous trouverez sur la page Médiathèque du site de l’IFP (https://ifp.u-paris2.fr/fr/mediatheque) deux feuilles de style misent à votre disposition pour faciliter la rédaction, la présentation et la lecture à l’écran de votre mémoire.

Selon le logiciel de traitement de texte que vous utilisez, choisissez

  • « Modèle Word.doc » : la feuille de style au format Word.doc
  • ou « Modèle Writer.odt » : la feuille de style au format Writer (OpenOffice)
 
  En premier lieu, enregistrez et nommer le modèle sur votre poste
 

 

Prise en main

 
  En second lieu, dans la barre de menu de votre traitement de texte, ouvrez le module «Style» pour afficher les styles présents dans votre document

 

 

 

 

Parcourez rapidement la feuille de style : les pages liminaires sont les pages de présentation courante d’un mémoire :
Sur la page de couverture, remplacez en complétant les informations dans les zones prévues à cet effet. Chacune s’écrit alors selon le style retenu dans le modèle.

Pour compléter les pages suivantes (Remerciements, Résumé etc.), positionnez le curseur après le titre de la page ou du paragraphe et cliquez sur envoi : le curseur se positionnera à l’endroit voulu et le style adopté sera le style choisi par la feuille de style.

Rédaction

Dans le volet des styles qui est affiché à l’écran, vous constaterez qu’il existe des Titres de niveaux différents : de titre 1 à titre 9 : le titre 1 est le titre hiérarchique le plus fort, il sert à écrire le titre des parties, le titre 2 vient juste en dessous etc.

Pour vous aider, voici un exemple de hiérarchie :

Titre de la partie (Titre 1)

  1. TITRE SOUS PARTIE (TITRE 2)

1.1.Titre de chapitre (Titre 3)

  1. Section (Titre 4)

Sélectionnez l’ensemble du texte et des chiffres d’un titre et remplacez-le par le texte qui vous est propre : il s’écrira dans le même style.

Cliquez ensuite sur envoi : le style suivant sera le style Normal (celui du texte courant), le curseur se positionnera et vous pourrez rédiger.

Bien entendu, vous êtes libre d’utiliser ou pas l’ensemble des titres mis à votre disposition, et de les nommer et numéroter comme bon vous semble ou plutôt selon l’usage de votre discipline de mémoire : (paragraphe, section, etc.).

Pour les parties suivantes, il vous suffit, après avoir positionné votre curseur, de cliquer sur le style de titre choisi dans le volet des styles pour que votre texte s’écrive directement selon ce titre.

Génération automatique de la table des matières

Comme vous le constatez, la page « sommaire » est pré-remplie.

Au fur et à mesure de la rédaction de votre mémoire, il vous faut la mettre à jour pour que les titres et numéros de pages soient les bons. :

Positionnez-vous sur la page « sommaire », faites un clic droit (Windows) ou contrôle clic (Mac) puis cliquer sur « mettre à jour les champs » (Word) ou « actualiser l’index » pour Writer : la table des matières se mettra à jour automatiquement !

Lorsque vous ouvrez votre document, la page « sommaire » est active et vous permet de naviguer où vous le souhaitez à l’intérieur de votre document.

Insertion de notes de bas de page et citations

Quel que soit le format que vous choisirez, il offre la possibilité d’insérer des notes de bas de page et citation.

Pour les notes de bas de page vous choisirez la numérotation en continu.

Vous placerez vos citations textuelles entre guillemets et choisirez le style « citation »

2.Conseils de rédaction et de présentation

La recherche effectuée sous la conduite de la directrice/du directeur de mémoire aboutit à la production d'un mémoire de 50 pages de texte (M1), de 30 pages de texte (DU) (annexes documentaires et bibliographie non comprises) et de plus grande ampleur pour un mémoire de seconde année de master.

2.1 La mise en page : cf. Feuille de style

2.2 Les formes de citation et la question du plagiat

Toute citation textuelle doit être encadrée par des guillemets et de préférence composé en italique. Les références précises de l’origine de la citation doivent figurer en note de bas de page et indiquer la page exacte (cf. forme : feuille de style). De même, toute référence à une idée, concept ou un auteur doit figurer en note de bas de page même s’il ne s’agit pas d’une citation.

Citer ne veut pas dire plagier. Le plagiat est une fraude particulièrement grave. En effet, conformément à la déontologie académique et aux dispositions juridiques relatives à la propriété intellectuelle, est considéré comme plagiat tout passage emprunté à une source dont vous n’êtes pas l’auteur, sans les assortir de guillemets et de l’indication précise de l’origine de l’information (référence bibliographique, site internet, etc.). De même que la paraphrase, la traduction et/ou la reprise d'un texte dans sa substance ne sont pas davantage acceptables, à moins de la préciser et de la référencer. La reprise de textes pris sur Internet, de travaux non publiés ou d'autres sources, constituent tout autant un plagiat que celle de travaux publiés. Même si toutes les sources sont correctement indiquées, un travail écrit qui ne fait que reprendre tels quels ou compiler les écrits d’autrui est insuffisant en raison de l’absence d’une véritable contribution personnelle et scientifique du travail rendu.

N.B. toute citation de plus de 10 lignes, extraite d'un ouvrage de moins de 50 ans, peut être soumise à des droits de reproduction.

  1. 3 La composition

    • La correction de l'orthographe et le respect de la grammaire sont essentiels : la responsabilité des fautes ne saurait être rejetée ni sur la précipitation de la  rédaction, ni sur les défaillances de l’ordinateur ou du logiciel de traitement de texte.
    • De façon générale, les titres des journaux, les noms des chaînes de radio ou de TV doivent être écrits en italiques. (ex : Le Monde, Europe)
    • L'usage des majuscules est souvent très délicat : un Français - le français ; l'Etat - l'état ; l'Eglise - l'église ; l'Université Panthéon-Assas - l'université. Les sigles et acronymes sont toujours écrits en majuscule et sans points entre chaque lettre. Les noms propres, les noms des peuples commencent par une majuscule (Un Anglais parle l’anglais).
  • Sauf cas particulier, les nombres inférieurs à 10 (voire même à 20) s'écrivent en toutes lettres. De même, ne pas écrire la 1/2 ou les 2/3 dans le texte, mais "la moitié", "les deux tiers" - et ne pas faire des mélanges tels que "quarante mille m2". On écrit impérativement 3 820 ou 2 453 768. Bien noter donc que, par exemple, 12 000 ne s'écrit jamais 12000 ni 12.000 (et encore moins 12,000 : formule anglo- saxonne). On évite de commencer une phrase par un nombre écrit en chiffres arabes. On ne coupe pas un nombre. Dans le texte, on n'écrit pas le 29.9.90, mais le 29 septembre 1990, mais on peut le faire dans la référence.

2.4 Les notes de bas de page

Elles sont signalées par un appel de note dans le texte, à la suite d’un nom, d’un mot ou d’une citation. Quant il s’agit des références à un auteur ou à un document, elles sont rédigées suivant les règles bibliographiques en vigueur et sur la base de la feuille de style.

Si le document (extrait de texte, graphique, photographie etc.) figure en annexe, cette mention doit figurer dans la note :

  1. Voir données statistiques en annexe : Annexe 3, p. 101.
  2. Voir figure 4 : Annexe 2, p. 99.

La note de bas de page peut aussi être un commentaire ou une remarque destinés à éclairer le texte.

2.5 Les annexes

D'une manière générale, sont renvoyés en annexes les textes ou les tableaux dont l'importance romprait le suivi du propos, ainsi par exemple que les guides d’entretiens.

Les annexes doivent être numérotées et paginées à la suite du texte, même s'il s'agit de photocopies. Elles doivent être annoncées dans le texte par une note renvoyant à leur page.

2.6 La bibliographie

Tous les ouvrages cités dans le mémoire doivent être présents dans la bibliographie, ainsi que tous les ouvrages non cités mais qui ont servi à l’élaboration du travail. Pour toutes les sources imprimées, les œuvres sont classées par ordre alphabétique. Les règles universitaires correspondent aux normes catalographiques des bibliothèques. Elles sont très précises et strictes :

a/ Les livres

Ouvrage :

DUPONT Jean-Pierre. Le Trésor de la sémiologie. Paris : Denoël, 1988, 256 pages.

Ouvrages ayant plusieurs auteurs :

SCHWARTZ Hugo, et al. La Radio en crise . Lyon : Presses universitaires de Lyon, 1989, 248 pages.

Ouvrages collectifs sous une direction :

Les Journalistes français / éd Jean BERTAL et Frédéric ROLAND. Paris : Hachette, 1992, 432 pages.

Citation d’une contribution à un ouvrage collectif :

HATIN Amélie. Les journalistes wallons, p.236 à 280, in Van BOL Marc, et al. La Presse belge contemporaine, Liège : Editions de la Meuse, 1988, 386 p.

b/ Les Articles de revues scientifiques

MARTIN Paul. La censure dans le cinéma guatémaltèque. Revue hispanique juillet 1986, vol. VI, n°4, pp. 38-57.

c/ Les Travaux universitaires

LE FOURNIER, Viviane. Le consommateur-internaute, entre projections et pratiques. Th : Sciences de l’information et de la communication. Paris II : 2005, 2 vol., 719 p.

d/ Les Congrès, colloques et conférences

LES TECHNOLOGIES DE L’INFORMATION ET DE LA COMMUNICATION : POUR QUELLE SOCIETE ? : Colloque, Compiègne, Université technologique, 28/30 avril 1997 / éd. M.-N. Sicard et J.-M. Besnier. Compiègne, UTC- Département Technologie et Sciences de l’Homme, 1998, 273 p.

Sigles

L'usage actuel du code typographique est de ne pas mettre de points entre les lettres. Ex. SNCF - CNRS (et non C.N.R.S.).

Renvois successifs:

au même auteur, dans des notes qui se suivent, mettre idem la première fois, puis id. ensuite ;

à un ouvrage unique, mettre ibidem la première fois, puis ibid. ensuite ;

à un ouvrage déjà mentionné, parmi plusieurs du même auteur, mettre l'auteur, le titre, puis op. cit. (remplace les références) et la (ou les) pages. Les abréviations latines op. cit., ibid., sont à mettre en italique, comme les termes étrangers.

2.7 Les sources

Les centres de documentation consultés

Liste des bibliothèques, archives, centres de documentation (y compris celui de l'IFP), etc., qui ont été utilisés.

a/ Sources d'archives

Liste des dossiers consultés avec la référence aux cotes des documents. Elle peut se subdiviser en archives publiques et archives privées

b/ Documents internes d’entreprises privées ou publiques

  • Liste des documents fournis (rapports, compte rendus, circulaires internes, etc.) par les organismes ou entreprises divers et qui, n'étant pas soumis au dépôt légal, ne se trouvent pas dans les bibliothèques publiques. Chacun de ces documents doit être référencés.

c/ Collections de périodiques

  • Liste des journaux ou des revues systématiquement dépouillées. Indiquer le lieu de la consultation et la cote sous laquelle ils sont conservés.

d/ Sources presse

  • Liste des documents extraits de la presse d’information générale (quotidiens ou hebdomadaires) avec auteur (s’il est mentionné), titre et date de chaque article. Le classement doit être fait par titre de journaux et chronologique

e/ Sources audiovisuelles

  • Liste des documents utilisés (Images, disques, films, cassettes, CD Rom, etc.) avec la référence de leurs origines, lieu de conservation et caractéristiques particulières.

f/ Sources électroniques

Il est important de distinguer entre sites web et webographie :

 

  • La rubrique "Webographie" regrouperait les documents sources disponibles exclusivement en ligne avec référence + URL de la page (lien hypertexte en quelque sorte) et en indiquant la date de la dernière consultation.

DAMIAN-GAILLARD Béatrice, REBILLARD Franck, SMYRNAIOS Nikos (2009), « La production de l’information web : quelles alternatives ? Une comparaison entre médias traditionnels et pure players de l’internet », International conference on nemedia and information, 6/9 mai 2009, Athènes, Grèce), 11p. URL :

http://nikos.smyrnaios.free.fr/francais/communications.html (dernière consultation: xx/yy/zzzz).

LETEINTURIER Christine (2013), « La Commission de la carte d’identité des journalistes professionnels et la légitimation des journalistes en France », in Sur le journalisme - About journalism - Sobre jornalismo, revue scientifique internationale, (http://surlejournalisme.com/rev)

  • La rubrique "Sites web" regrouperait les sites pris comme source dans leur globalité :

InaGlobal, La revue des industries créatives et des médias, http://www.inaglobal.fr/ (dernière consultation: xx/yy/zzzz).

Dans cette même logique, les références aux articles et documents imprimés restent identiques, mais devraient, quand elle est disponible, renvoyer à la version électronique, sauf quand il s'agit des BDD de types Cairn ou Persée qui sont alors référencées comme telles :

DUPUY Camille (2010), « L’entreprise de presse en conflit. Libération et Le Monde en restructuration  », TRAVAIL ET EMPLOI, 124, octobre-décembre 2010 http://travail-emploi.gouv.fr/IMG/pdf/Dupuy.pdf (dernière consultation: xx/yy/zzzz).

Des   référencements web similaires peuvent aussi être accolés à d'autres composantes des mémoires : données statistiques, cartes, diagrammes, images, etc. Par exemple :

Evolution des revenus mensuels bruts moyens des journalistes en euros constants de 2000 à 2012. Source : ANR-AMMEJ / Observatoire des métiers de la presse ; http://www.metiers-presse.org/ (in C. Leteinturier, dir. "Les journalistes français et leur environnement : 1990 - 2012, le cas de la presse d’information générale et politique", éditions Panthéon-Assas, 2014.)

g/ Sources orales

  • Liste des personnes interviewées en indiquant la date de l'entretien et le titre exact de la personne qui s'y est prêtée.
  1. Ressources en SIC

L'outil de découverte de la Bibliothèque universitaire : https://bibliotheques.u-paris2.fr/fr vous permettra d'accéder à de nombreuses ressources en ligne quelles soient en open acces ou non comme par exemple le portail http://www.cairn.info/ , les base de données de presse Factiva et Europresse.